dimanche 13 septembre 2009

Histoire des arts : Otto dix, témoin de l'angoisse combattante.



Comparez l'angoisse, l'horreur exprimées dans cette eau-forte de 1916 (Le blessé) avec cet article de presse français typique du "bourrage de crânes" de l'époque : "Les blessures causées par les balles ne sont pas dangereuses.[...] Les balles traversent les chairs de part en part sans faire aucune déchirure..." ( L'Intransigeant, 7 août 1914).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire