Comparez l'angoisse, l'horreur exprimées dans cette eau-forte de 1916 (Le blessé) avec cet article de presse français typique du "bourrage de crânes" de l'époque : "Les blessures causées par les balles ne sont pas dangereuses.[...] Les balles traversent les chairs de part en part sans faire aucune déchirure..." ( L'Intransigeant, 7 août 1914).
dimanche 13 septembre 2009
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